FAQ
Pourquoi a-t-on choisi « La Jonction » comme la marque verbale des projets de la bibliothèque et galerie d’art et du Centre de congrès et de spectacles?
Il est avantageux de créer une identité pour l’emplacement partagé de la bibliothèque et galerie d’art et du Centre de congrès et de spectacles au 240, rue Elgin. Ces deux projets se ressemblent dans le fait qu’ils se veulent tous deux des lieux de rassemblement. Les groupes de travail de la bibliothèque et galerie d’art et du Centre de congrès et de spectacles ont décidé d’appeler le projet d’aménagement intégré du site « La Jonction » pour les raisons suivantes :
§ Le terme « jonction » a pour définition « point où deux choses ou plus se joignent ».
§ Ce nom témoigne de ce que nous désirons pour l’avenir.
§ Il est assez vague pour englober toutes les activités qui seront entreprises à cet emplacement.
§ Le ruisseau Junction coule juste au nord de cet emplacement.
§ Les rues Elgin, Minto et Van Horne créent une intersection ou une jonction.
§ La gare ferroviaire se trouvant de l’autre côté de la rue de l’emplacement choisi s’appelait à l’origine la Jonction de Sudbury.
Quels sont les plans de réserve pour la bibliothèque et galerie d’art et le Centre de congrès et de spectacles dans l’éventualité où le projet du Kingsway serait retardé par des appels?
Quels seront les coûts totaux de la construction des projets de la bibliothèque et galerie d’art et du Centre de congrès et de spectacles?
Nous estimons que les coûts de la construction de la bibliothèque et galerie d’art s’élèveront à 46 500 000 $ et que ceux du Centre de congrès et de spectacles se chiffreront à 63 000 000 $. Cela dit, nous examinerons des sources additionnelles de financement en capital, notamment le Fonds du Canada pour les espaces culturels, la Fondation Trillium de l’Ontario et FedNor.
On nous a dit que la bibliothèque et la galerie d’art occupent chacune un édifice qui ne répond plus adéquatement à leur mission respective. Quelles mesures a-t-on utilisées pour parvenir à cette conclusion?
La succursale principale de la Bibliothèque publique du Grand Sudbury et la Galerie d’art de Sudbury ont très bien desservi la ville et la région pendant de nombreuses années. L’ancien manoir Bell (construit en 1907) héberge la Galerie d’art de Sudbury depuis 1967 et la succursale principale de la bibliothèque, rue Mackenzie, a été construite en 1952.
Les édifices que ces deux organismes occupent actuellement ne répondent plus adéquatement à leur mission respective, ce que nous avons conclu avec l’aide d’experts professionnels en nous fondant sur la taille des édifices, sur leur capacité et sur la taille de la population que ces organismes cherchent à desservir.
Le plus grand défi que la bibliothèque doit affronter, c’est un manque d’espace, lequel a des répercussions sur les utilisateurs, la programmation, le flux de travail, les activités spéciales et le rangement. Cette installation a été conçue il y a plus de 60 ans en vue de répondre aux besoins d’une population de 47 000 habitants. Aujourd’hui, elle dessert une population presque quatre fois plus grande. Parmi les autres mesures utilisées pour parvenir à cette conclusion, notons les défauts cités dans le rapport de 2014 du cabinet d’architectes Yallowega Belanger Architects, notamment en matière de santé (variations de température, système de chauffage, de ventilation et de climatisation d’air) et au niveau des espaces de travail des employés, du stationnement, des technologies et des salles de toilettes. Dans un récent rapport sur l’état de l’édifice, des conseillers indépendants ont identifié des mises à niveau d’une valeur de 1,1 million de dollars à apporter en vue de simplement maintenir l’état actuel.
Pour ce qui est de la Galerie d’art, une analyse des installations préparée par Lord Cultural Resources en 2010 a conclu qu’il n’était pas très rentable de mettre à niveau le manoir Bell puisque l’espace n’est pas suffisant pour y tenir les expositions d’envergure et que l’espace de rangement pour bien prendre soin de la collection et la préserver demeure inadéquat. À l’heure actuelle, la Galerie d’art possède une désignation de catégorie A au terme de la Loi sur le patrimoine de l’Ontario. Toutefois, en raison des défis au niveau de l’espace de rangement et d’exposition, elle ne satisfait pas toutes les exigences de cette désignation.
Quels genres d’activités tiendra-t-on au Centre de congrès et de spectacles?
Le programme d’aménagement recommandé pour le Centre de congrès et de spectacles du Grand Sudbury prévoit 19 500 pieds carrés d’espace à louer, avec une salle decongrès et de spectacles en direct de 13 000 pieds carrés comptant 950 sièges. Une installation de cette taille peut représenter une concurrence efficace pour d’autres centres de congrès de catégorie 3, les hôtels régionaux et d’autres installations pouvant accueillir des congrès d’envergure de plus de 300 personnes, des salons professionnels, des banquets pour jusqu’à 900 personnes, ainsi que des spectacles en direct de jusqu’à 950 personnes.
Cela dit, les congrès deviendront la grande priorité du Centre de congrès et de spectacles, avec les spectacles en direct en deuxième position. Ce centre pourra accueillir non seulement des congrès, mais aussi des salons professionnels, des expositions, des réunions et des activités axées sur la nourriture et la boisson. Du point de vue des arts de la scène, le centre pourra recevoir des spectacles sudburois, des spectacles en tournée, des festivals de l’humour, etc.